Afin de répondre aux objectifs de développement des années 2000, l’Équateur a lancé de grandes réformes politiques et économiques, notamment dans le domaine de la santé et de la gestion de la sécurité sociale.
Cependant, près de 75% des structures de soins sont privées et les hôpitaux publics subissent de lourdes dettes à la suite du retard de paiement des autorités de sécurité sociale.
Aujourd’hui, bien que l’offre médicale et chirurgicale se soit améliorée, l’accès à ces soins représente un coût important pour les populations les plus pauvres, qui sont également les populations ayant un besoin accru de prise en charge.